Prix des libraires 2018 Emmanuel Grand
Kisanga, paru chez Liana Levi le 15 mars, a été choisi par les libraires des Espaces culturels Leclerc pour la 7e édition du prix.
Michel Edouard Leclerc et le jury de 12 libraires présidé par Olivier Norek, avec l’aide des 1178 libraires des Espaces culturels Leclerc dont le vote a été pris en compte, ont décerné le mercredi 11 avril le prix Landerneau Polar 2018 à Emmanuel Grand pour Kisanga, paru le 15 mars chez Liana Levi.
Remis pour la 7e fois, le prix est doté de 6000 euros tandis que le livre bénéficiera d’une campagne de publicité dans la presse et d’une mise en avant dans les 216 magasins de l’enseigne.
Entre roman d’espionnage et thriller politique, Kisangatraite de l’Afrique, de ses richesses et de ses jeux d’influence à travers le personnage d’Olivier Martel, ingénieur de la société minière Carmin, chargé de veiller au projet Kisanga, un gisement de cuivre au Congo exploité par Carmin et son partenaire chinois. Contre-pouvoirs, barbouzes chargées de retrouver un dossier secret, et Raphaël da Costa, un journaliste qui connaît les zones grises du pouvoir… la mission de Martel ne sera pas de tout repos.
C’est le troisième livre d’Emmanuel Grand, né en 1966, qui s’est imposé dans le thriller social à la française avec Terminus Belz (Liana Levi, 2014, Points, 2015), prix Polar SNCF et prix PolarLens; et Les salauds devront payer (Liana Levi, 2016, Le Livre de poche, 2017), prix Interpol’Art.
Kisanga est arrivé devant Les retournants, de Michel Moatti (HC Editions); Hével, de Patrick Pécherot (Gallimard, "Série noire"); Boccanera, de Michèle Pedinielli (L’Aube) et Tuez-les tous… mais pas ici, de Pierre Pouchairet (Plon, "Sang neuf").
Emmanuel Grand succède à Colin Niel, lauréat du prix en 2017 avec Seules les bêtes (Le Rouergue).
Remis pour la 7e fois, le prix est doté de 6000 euros tandis que le livre bénéficiera d’une campagne de publicité dans la presse et d’une mise en avant dans les 216 magasins de l’enseigne.
Entre roman d’espionnage et thriller politique, Kisangatraite de l’Afrique, de ses richesses et de ses jeux d’influence à travers le personnage d’Olivier Martel, ingénieur de la société minière Carmin, chargé de veiller au projet Kisanga, un gisement de cuivre au Congo exploité par Carmin et son partenaire chinois. Contre-pouvoirs, barbouzes chargées de retrouver un dossier secret, et Raphaël da Costa, un journaliste qui connaît les zones grises du pouvoir… la mission de Martel ne sera pas de tout repos.
C’est le troisième livre d’Emmanuel Grand, né en 1966, qui s’est imposé dans le thriller social à la française avec Terminus Belz (Liana Levi, 2014, Points, 2015), prix Polar SNCF et prix PolarLens; et Les salauds devront payer (Liana Levi, 2016, Le Livre de poche, 2017), prix Interpol’Art.
Kisanga est arrivé devant Les retournants, de Michel Moatti (HC Editions); Hével, de Patrick Pécherot (Gallimard, "Série noire"); Boccanera, de Michèle Pedinielli (L’Aube) et Tuez-les tous… mais pas ici, de Pierre Pouchairet (Plon, "Sang neuf").
Emmanuel Grand succède à Colin Niel, lauréat du prix en 2017 avec Seules les bêtes (Le Rouergue).
(Source : Livres Hebdo, Claude Combet)