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Publié par blog813

Le Panier de Jeanne

Marché du 15 mars 2014

Dans mon panier aujourd’hui du jeune, du vieux, de la fiction et du documentaire. REt même… quelques images. Un effet du printemps ?

De la fiction donc….

Cargo
Eric Va
lz
Editions Viviane Hamy, 1996

Par Paul Maugendre…
[…]Ce roman qui s'inscrit dans la plus pure tradition du roman populaire, avec sa journaliste émule de Tintin et de Rouletabille - les seules différences résidant dans sa bisexualité et son don de télépathie - avec également son méchant dont le visage peut se transformer à volonté, ses protagonistes dont l'identité et les motivations se dévoilent peu à peu, et dont les retournements de situation sont un perpétuel jeu de piste, ce roman joue également avec la proche actualité. La guerre ethnique en ex-Yougoslavie, la grande braderie militaire russe, tempèrent le côté farfelu de l'histoire. Un livre amusant dont la gravité est maquillée d'extravagance. […]

Lire la chronique complète sur son site « Les lectures de l’Oncle Paul »

Le Panier de Jeanne

Le Contrat Magellan
Jean-François Thie
ry
Éditions Ex aequo, 2013
par Du bruit dans les Oreilles…

La peur s’insinue, poisseuse, glaçante... Elle rampe avec lenteur, mais ses attaques sont fulgurantes. Son triomphe est sournois, et si proche. Il a l’odeur de la poudre, le goût du sang, l’humidité de la sueur. Le hasard en est exclu. Dans le secret des bureaux lambrissés, des hommes puissants guettent. Leur rêve a un nom, « I.R.A. », et leur cauchemar va prendre un visage, celui de Suzana Magellan. Cette informaticienne est très appréciée au sein de XOX Consulting pour sa gestion efficace de projets industriels, et… ses suppressions élégantes de cibles humaines. Dans ce milieu élitiste, l’échec n’est pas une option. La prédatrice peut rapidement devenir une proie, surtout quand le soupçonneux lieutenant Garfield croise son chemin. […]

Lire la chronique complète sur son site «Du bruit dans les oreilles, de la poussière dans les yeux »

Le Panier de Jeanne

et des documentaires …

Le Fils de Sam
Mickaël Menti
on
Ring Editions 2014-03-15

Par Demosthène

[…]Les chapitres sont courts, ça va vite, très vite (englouti en deux jours). On alterne avec une facilité déconcertante les phases dites d'investigation pure. Michael nous raconte l'enquête de A à Z dans les moindres détails. Photos, et documents à l'appuie.
Puis, les phases romancées, ou Michael parle (écrit) à la place de Berkowitz! Ça swing, ça bouge, c'est choc devant les propos et les gestes du tueur. Parfois consternant devant la bêtise des flics... Il nous décrit aussi la ville de New York. On ne peut pas ne pas parler d'elle, elle fait quasiment figure de personnage principal. Son rôle n'est pas des moindres dans les agissements du Son of Sam. Mais au final, Michael nous prouve que Berkowitz n'est que le cruel reflet d'une ville en prise avec ses démons. Une ville qui souffre dans un pays qui veut tout, tout de suite. ("Il m'en faut toujours d'avantage, je veux tout voir, j'veux tout savoir et je veux tout avoir") Mais un pays presque à l'agonie!

Bref! Oscillant entre l'essai d'investigation et le thriller halluciné, avec son écriture efficace et toujours aussi visuelle, Michael Mention nous conte la vie de Berkowitz, dit le Fils de Sam avec une redoutable efficacité.
Entre Rock'N'Roll, LSD, Satanisme et meurtre!

Une réussite! Une vraie! […]

Lire la chronique complète sur le blog « Serial Lecteur »

Pour des images d’époque, on peut visionner ici un long documentaire ne sombrant pas trop dans le sensationnalisme.

Le Panier de Jeanne

La Ballade du voleur de whisky
Julian Rubinste
in traduit par Clément Baude
Sonatines éditions 2014

par Jeanne D.
Attila Ambrus… Un prénom beaucoup donné en Transylvanie, semble-t-il, aujourd’hui encore. Cet Attila-là n’est pas méchant, et il lui arrive même d’offrir des fleurs aux employées des banques qu’il dévalise. Et avant de « monter au braco », ce grand casseur picole pour se donner du courage. Ce n’est pourtant pas non plus un trouillard : il a fui la Roumanie pour la République Tchèque en prenant de sérieux risques physiques, et comme gardien remplaçant d’une équipe de hockey sur glace, il en prend plus souvent qu’à son tour en pleine figure.

Pendant plusieurs années, Attila, secondé par des complices d’un amateurisme incroyable, va rançonner les bureaux de postes, dévaliser les agences de voyages, braquer les banques, ridiculisant la police tchèque. Il y aura quelques blessés, mais pas de mort, car quand Attila se sert de son arme, c’est pour tirer en l’air.[…]
Lire la chronique complète sur le site de Jeanne Desaubry

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B
Voici le début du résumé proposé par un marchand de livres en ligne : «Attila Ambrus a toujours affiché un goût prononcé pour le Johnnie Walker, les voitures de luxe et les filles en pantalon léopard. Arrivant de Transylvanie, il s'est installé à Budapest en 1988 et a cumulé bon nombre de petits boulots...»
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D
Bonjour,<br /> <br /> La ballade du voleur au whisky c'est en République Tchèque ou en Hongrie ?
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