[le billet] Longmire chez les Cheyennes
Walter Longmire, shérif de son état, va marier sa fille, la salle prévue à cet effet est réservée. C’est sans compter sans Lonnie Little Bird.
Longmire et son inséparable Henri Standing Bear prennent la route. L’indienne Lolo Long leur colle aux fesses et ça coûtera 262 dollars.
Le drame arrive. Une femme et son enfant dans les bras tombent d’une falaise, le bébé va s’en sortir. Ont ils été poussés ?
Le FBI est de la partie, Cliff Cly. La tension est immédiate. Lolo Long a un caractère de cochon et Longmire lui explique : — C’est l’expérience qui parle. On arrête Clarence. Alors, c’est toi qui les a poussés dans le vide ?
— Non, moi je dormais ! »
La bière aidant...
La bière aidant...
Longmire va enquêter chez les Cheyennes. Lui, le blanc américain va devoir se plier à leurs habitudes, leur repas, leur religion et le fameux peyotl qui est censé vous faire voyager de l’autre côté de la lune, dans le pays de l’ours et du corbeau.
Longmire, le bon cow-boy, est chez les vilains indiens, voila comment pense Lolo Long, la flique des affaires indiennes.
Les Hautes Plaines savent ce qui s’est passé. La parole est d’argent mais le silence est d’or.
Les indiens reprochent souvent aux hommes blancs la même chose. Dès qu’il y a un indien à arrêter, vous êtes là.
Un combat dans les règles de la police. Les trois ensemble, Longmire, la police indienne et le FBI. Chacun a ses raisons, ses devoirs, tous de forcer les choses. Ce n’est pas un film . C’est plus commun. Et sans aucun doute même si les choses ont changé, il y aura les indiens et les blancs. A jamais.
A vol d’oiseau ; Craig Johnson ; Gallmeister, mai 2016.