Des nouvelles de Christian Roux, écrivain, acteur et musicien
Bonjour,
Heureux de vous convier à une représentation de notre prochaine création !
C'est très bientôt (!) du 5 au 16 janvier du mercredi au dimanche
Réservations sur le site du Théâtre de l'Opprimé !
J'y officierai du 5 au 9 janvier et serai remplacé du 12 au 16 par Vincent Martin.
Au plaisir de vous y voir,
Christian Roux
NB : je vous convierai, dans le même lieu, à une lecture de "La grève des mères", pièce que j'ai écrite et que je compte mettre en scène pour la saison 2022 / 2023 (les 6 janvier à 15h et 7 janvier à 18h)
Un chœur d’hommes qui se fait et se défait, qui incarne la poésie, le cri, la douceur, la générosité, le timbre le plus secret de chacune des voix de ce texte unique. Récit minutieux et lumineux que fit Robert Antelme à sa libération des camps. Témoin de l’inhumanité de l’homme mais aussi de l’indivisibilité de l’espèce humaine. Claude Viala
«Voici la leçon d’Antelme. Une leçon pour maintenant, qui nous accompagne pour demain. Une leçon par anticipation sur le prix que nous aurions à payer un jour de ce que l’après-guerre n’ait pas souhaité regarder la réalité en face, et écouter le lourd savoir que les déportés, portefaix brûlants, ramenaient comme seul bagage.À ce jour, nous y sommes presque : déjà essayer d’être un homme est devenu intempestif, et le revendiquer, subversif. L’alternative est déjà radicalisée et la zone intermédiare rétrécie : ou bien nous sommes du côté de ce livre inépuisable, fermes à notre tour, ou bien nous nous tenons dans sa leçon ; ou alors nous optons, quoiqu’on croie encore pouvoir prétendre du contraire, pour la canaillerie qui avance, s’agglutine et se répand.» Gérard Rabinovitch dans Robert Antelme Textes inédits, sur l’espèce humaine, Essais et témoignages, Gallimard
« Il ne faut pas manquer cette adaptation forte du texte majeur de Robert Antelme ! » L’Humanité, A. Brédy
« Émouvante « Espèce humaine ». L’adaptation est belle, émouvante et fidèle. » Le Parisien, A. Lafargue
« Le spectacle est à l’égal de l’acuité du regard d’Antelme : d’une vivacité de chaque instant, d’une luminosité même. » Le Nouvel Observateur, O. Quirot
« Un jeu épuré, (des) voix pour ne pas oublier et nous inviter à crier notre soif d’humanité. Superbe, à ne pas manquer. » La Nouvelle Vie ouvrière, Y.L
« Le spectacle tape très juste dans cette absence de spectaculaire. Un morceau de Théâtre brut. » A Nous Paris, M. Hajoui