[le billet] Craig Johnson

Il neige autant qu’il peut, je suis dans mon bureau et Ruby, le chien, dort.

Une inconnue s’invite et insiste. Elle veut voir l’ancien shérif Connaly.

Connaly est dans une maison de retraite et fait des cartons sur les postes de télévisions.

L’ancien shérif ne la reconnait pas. Alors elle dit un mot « Steamboat ».

Quinze ans plus tôt, le temps est épouvantable et pourtant une urgence : il faut faire voler ce vieux VB-25 J.

Question de vie ou de mort, Longmire connait quelqu’un .

Sur la piste, un mètre de neige. Qu’importe, faisons demi-tour et « Steamboat » décolle.

Pendant le vol « Steamboat » tremble tout ce qu’il peut. Il n’y a pas assez de pétrole et la pression hydraulique chute trop vite. L’urgence médicale devient ultra prioritaire.

Il reste bien peu de temps à l’avion et à la malade. Les portes des soutes à bombes sont ouvertes, Longmire est volontaire.

Sur les pistes de Denver, des congères plus hautes que les déneigeuses...

Roman à suspense, pour la première “mission” de Longmire. Tous comprennent que pour cette “aventure” il n’y a qu’une chance et elle semble leur suffire.

L’acteur principal, un avion de la deuxième guerre mondiale le bien nommé “”Steamboat”.

Steamboat ; Craig Johnson ; Ed. Gallmeister, décembre 2015.

#Le billet de Patrice Lebrun