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Publié par blog813

Marché du 19 octobre 2016
 

Cette sortie littéraire offre une avalanche de romans, dont beaucoup que nous, fans de polars, attendions avec impatience. Aujourd’hui, ce sont les français qui seront mis à l’honneur.
Pour le choix Oldies, j’ai choisi La mort est mon métier de Robert Merle. Un classique, pas un polar certes, mais à la noirceur inégalée, inégalable...
Je vous souhaite de belles découvertes littéraires et surtout, n’oubliez pas le principal, lisez !

 

Je l’ai fait pour toi
Laurent Scalese

Editions  Belfond  2016

par Totalybrune
Là nous sommes face à un sérieux cas. Celui de Samuel Moss. Oubliez tout ce que vous savez des policiers et autres détectives et partez à sa rencontre. C’est plus qu’un homme :  c’est une méthode.
Enquêteur plus qu’atypique puisque c’est lui-même qui choisit les affaires sur lesquelles il va jeter son dévolu.
Lorsqu’il est appelé sur les lieux d’un suicide, sa curiosité et son flair sont aux aguets. Ne nous fions pas aux apparences. On va suivre Samuel dans sa quête de la vérité mais au lieu de prendre l’autoroute, il va prendre les petits sentiers, aller là où on ne l’attend pas et s’attarder non pas sur les évidences mais sur les petites choses sans intérêt pour les autres mais pas pour lui.
La suite de la chronique et les autres sont  à lire sur le blog de Totalybrune :

La prunelle de ses yeux
Ingrid Desjours

Editions  Robert Laffont 2016
Collection : La bête noire

par Sandra
Plonger dans ce livre équivaut, à mon sens, à effectuer son premier saut en parachute: angoisse, vertige, sensations fortes et peur de l'atterrissage sont largement assurés (et assumés) par l'auteure ! Elle nous manipule avec une telle force, une telle virtuosité, un tel brio (non non, promis je n'en rajoute pas ! Je peux même vous dire que je suis encore sur le c...) qu'il est impossible de lâcher ce livre une fois commencé !
Double époque, double manipulation...
2003. Une bande de jeunes branleurs sème le trouble dans une grande école parisienne. Terreur et bizutages ignobles sont au rendez-vous...
2016. Gabriel a perdu la vue (sans la moindre raison physiologique). Il n'a de cesse, malgré sa cécité,  de venger la mort de sons fils survenue en 2003 (vous sentez le lien là ?) et pour ce faire il se rapproche de la belle et énigmatique Maya...
La suite de la chronique et les autres sont à lire sur le blog Passion Thriller :

Lux
Maud Mayeras

Editions Anne Carrère  2016

par Cajou
Voilà un des romans dont j'attendais le plus la sortie cette année et que dire, sinon que je n'ai pas été déçue une seule seconde du voyage : commencé hier et terminé ce matin, je me suis laissée dévorer tout crue par les mots et les monstres de Maud Mayeras.
Des romans psychologiques, du noir, des thrillers, j'en lis souvent, mais je ne croise pas souvent une aussi belle plume pour servir la noirceur : c'est aussi fluide que l'écriture d'un page-turner très efficace, mais ça a la grâce et la poésie des très bons romans contemporains.
Ce qui m'a le plus convaincue, c'est le talent de l'auteur pour créer une atmosphère sombre, pesante, avec une menace sourde qui couve, qui guette à chaque coin de pages et qui s'insinue au plus profond du ventre du lecteur. Une expérience de lecture qui m'a souvent rappelé l'intensité noire de "Les loups à leur porte" de Jérémy Fel.
La suite de la chronique et les autres sont à lire sur le blog Plumedecajou :

La mort est mon métier
Robert Merle

 Gallimard – Folio 1976 (1962 pour la première édition)

par Phooka
Ce que j'adore dans le fait d'avoir un gamin au collège (et bientôt au lycée) c'est que je découvre toujours des livres intéressants parmi ceux qu'il doit lire dans le cadre scolaire.
Et là pourtant ce n'était pas gagné. Quand il m'a parlé de ce livre (que je ne connaissais pas, honte à moi), j'ai d'abord eu un sentiment de rejet.
Quoi ? Un livre qui raconte la vie de Rudolf Hoess, le commandant du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz ? J'étais sidérée qu'on puisse donner ça à lire à des mômes de 14 ans. Une pseudo biographie sur un "monstre". Voilà ce que j'imaginais.
Et puis je me suis souvenue de Malevil de Robert Merle, un roman que j'avais adoré, une écriture puissante.
La cerise sur le gâteau, c'est quand le gamin l'a dévoré en trois soirées malgré ses 384 pages et son sujet très dur. Il avait hâte que je le lise pour qu'on en discute. Je le sentais aussi assez perturbé, alors je me suis lancée.
La suite est à lire sur le blog Bookenstock

Mise en ligne par Jeanne

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