[le billet] le bon sens viendra à eux...

Papi Fernand est coincé dans son fauteuil, sa famille l’emmerde, une seule copine Juliette 17 ans. Il réussi

quand même avec son déambulateur à s’approcher du frigo, le Pécharmant est bien frais.

Le passe temps de Juliette est de visiter les malades à l’hôpital. En ce moment c’est Suzanne, ça fait tente ans qu’elle est allongée en dehors du monde.

Dans le commissariat de Bergerac un petit nouveau le parisien Paulin, pour les autres la routine.

Puis la routine devient macabre. Un cadavre à la gare, Juliette à la tête explosée. Un suspect SDF et blingbling.

C’était qui cette Juliette ? Une trop jolie jeune fille, une bonne élève, “très proche de Fernand”.

Cette Juliette n’est point ce que l’on pense ! Elle sème la zizanie, ça laisse des traces. Paulin et Reyberol, les pendores bergeraquois , deux méthodes et des résultats.

Paul se fait bousculer. Matt a de vilaines habitudes, mais papa, le docteur Richier, veille.

Christin, on

a pas encore parl

é d’elle. La grande amie de Juliette, pleine de secrets, accompagne son oncle Paidreck, un sujet de Sa gracieuse majesté.

Il est où le coupable, quelles sont ses motivations ? Faut il passer par Matt et sa vie de bâton de chaise, ou Paul et ses histoires d’amours déçues. Et aussi les deux chasseurs, fines gâchettes et le bon docteur Richier, empêcheur de naitre en rond...

Au village, nous aussi on a de beaux assassinats. Une jeune femme qui ne fait de mal à personne ou presque. Elle connait beaucoup trop de monde. Des jalousies s’installent.

Le couple Reyberol-Paupin, digne de comédie cinématographique, courent dans tous les sens.

C’est le bon sens qui viendra à eux..

M

ariée nue ; Patrick Marty ; Ed. Fei Polar, septembre 2016.

#Le billet de Patrice Lebrun