[le billet] le matou Killmousky
Vous allez pas me croire, dix minutes après l’inspecteur Barnaby et son chat Killmousky, un matou inconnu se met à miauler sur la terrasse. Son nom était tout trouvé. Et comme tout chat qui se respecte il devient le maitre de maison. Pour moi, Ellwanger, vient le temps de quitter la police de Munich. Je suis amoureux de ma voisine qui me demande de la rejoindre à New-York. Elle a du travail pour moi.
La fille d’un milliardaire est malencontreusement tombée d’un building. Il reste le père qui demeure silencieux et la sœur grande et belle femme qui change de pièce pour son whisky matinal. Le père n’aimait pas trop sa fille. Il lui reprochait la mort de sa femme le jour de la naissance.
Le gendre, Larson, lui aussi, drôle de type ; chercheur de millions et peut-être d’origine allemande, New-York, un restaurant par ci, un autre par là en compagnie de deux femmes, chacune leur tour, sa voisine adorée puis Catherine la sœur de Vicky.
Ellwanger avance doucement. Il apprécie New-York et pense à son Killmousky de chat.
Un autre allemand a disparu à New-York un certain Bilfinger. Retour à Munich. Mais où est passé Killmousky ?
Et ce Larson ! Est-ce un vrai Larson ? Donc, retour à New-York. En tout cas, il invite gentiment Ellwanger chez lui.
Cet ancien flic munichois ne défraie pas la chronique. Il applique son savoir faire et sa discipline. Et c’est une fois de plus la gent féminine qui tient entre ses mains le mot de la fin.
Un prochain Ellwanger serait bienvenu, le Killmousky est vivement invité.
Killmousky ; Sybille Lewitscharoff ; Ed. Black Piranha, mai 2017.