Deux millions de dollars ou cent à l’heure.
1951.
Quant Pollock descend de l’avion il lui reste quelques grammes dans le sang.
Le voilà en pays indien. Un motel et l’Eden bar font l’affaire. Il y a là des tapeurs de cartons, Pollock s’incruste et dans pas longtemps il n’a plus un dollar, encore pire, il doit de l’argent.
Son deal “Je te donnes deux toiles et on est quitte ! “ Après réflexion le navajo accepte. On secoue Pollock, la bouteille est vide. “Allez vite on va être en retard !”
Il est invité à la “kinaalda”
1958.
Les Pollock sont bien cachés dans un coffre de banque. Ils changent de place dans un bazar indescriptible.
Pollock c’est bien mais, à qui les vendre et combien ? Les casseurs sont nuls en art moderne.
Yakusi pose des questions, fait copain-copain avec une accorte serveuse. C’est qui ce type qui a l’air bien malin ?
Face à plus fort que lui, il s’essouffle. Les dollars volés sont dangereux, trop d’argent nuit . C’est un monde quand même que tout ça doive rester planqué !
Patti et Dan ne sont pas doués pour les affaires. Alors maman leur fait la morale.
Et comme tout le monde le sait, Pollock est un soiffard et conduit trop vite.
La fortune ne passe pas loin mais ne s’arrêtera pas . La voiture, elle, dépasse le taux d’alcool. Tout par la faute d’une femme qui n’est pas dans le coup.
Sur la route avec Jackson. Marc Villard. Ed. Cohen et Cohen, Octobre 2018.