LES RENCONTRES DU ROUERGUE
EN LIGNE
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Les Éditions du Rouergue sont heureuses de vous inviter
à une rencontre en ligne avec PETER MAY
en présence de son éditrice.
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Mercredi 3 mars à 19h
Rencontre en ligne sur zoom
(sans inscription et sans réservation)
et via Facebook Live @rouergueadulte
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Né en 1951 à Glasgow, Peter May vit dans le Lot. Sa trilogie écossaise – L’Île des chasseurs d’oiseaux, L’Homme de Lewis et Le Braconnier du lac perdu –, initialement publiée en français par les Éditions du Rouergue, a conquis le monde entier. Saluée par de nombreux prix littéraires, toute son œuvre est disponible aux Éditions du Rouergue.
Photo © DR
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Écrit en 2005, publié en 2020, ce roman qui imaginait un monde ravagé par une pandémie est tout simplement un polar qu’on ne peut pas lâcher.
Alors qu’une épidémie sans merci a séparé la capitale britannique du reste du monde, alors que le Premier ministre lui-même vient de mourir, un ouvrier découvre sur un chantier ce qu’il reste du corps d’un enfant. MacNeil qui vit ses dernières heures dans la peau d’un flic, est envoyé sur les lieux. C’est lui, le policier désabusé, qui va devoir remonter la piste d’une machination abominable, dans une ville en butte aux pillages où les soldats en patrouille font la loi. Et alors qu’il apprend que son fils unique, Sean, est contaminé à son tour, n’ayant qu’une chance infime d’en réchapper.
Lorsqu’il a écrit ce roman en 2005, Peter May était loin de penser qu’un jour la réalité se rapprocherait autant de la fiction. Publié quinze ans plus tard en Grande-Bretagne, en plein confinement, Quarantaine a fait l’événement.
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En librairie le 10 mars 2021
Peter May, Quarantaine
Traduit de l'anglais par Ariane Bataille
320 pages / 22 €
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Peter May présente son livre |
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Extrait de la préface de Quarantaine :
Aujourd’hui, j’écris ces lignes en France, à l’abri chez moi d’où je n’ai le droit de sortir qu’en des circonstances exceptionnelles. Un nouveau coronavirus, la Covid-19, ravage le monde. (...) Les parallèles avec Quarantaine sont terrifiants. Il me semblait donc que c’était le moment de repêcher ce vieux manuscrit et de le partager avec mes lecteurs – ne serait-ce que pour leur faire prendre conscience que la situation pourrait être encore pire qu’elle ne l’est.
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