Bonnes rencontres à Bon Encontre
L'inauguration et la remise des prix étant prévues le samedi soir, je me suis permis d'arriver en tout début d'après-midi.
Le temps de compléter la table 813 que Serge et moi avons tenue.
À ma gauche, Yvan Robin, que je connais de longue date et avec qui j'ai prévu un entretien le dimanche matin. Il signe ses exemplaires et son voisin, Michel Arnaud, dessinateur, fait des croquis sur sa dédicace. C'est dire l'ambiance détendue. Mais cet échange de bons procédés se fera demain.
L'après-midi passe vite. Je fais plus ample connaissance avec Simone Gélin avec qui j'ai aussi un entretien demain matin. Tout ce qu'elle me raconte sur Juanita me passionne. Elle est intarissable. Son voisin, Thierry Bonneaud, sympathique membre de 813, me convainc d'acheter un de ses romans.
J'achète des romans — je sympathise avec le libraire que j'ai souvent rencontré ici — et deux BD. RIP et le Passeur de lagune. Le scénariste de ce dernier album, Christophe Dabitch, Serbe, est venu nous acheter le dernier exemplaire de notre revue consacrée au polar de l'est. Je sympathise avec eux. C'est celui de gauche sur la photo ci-dessous.
Je fais aussi la rencontre d'Yvan Britow qui a réalisé le colossal travail sur le Fleuve noir. La rencontre qui a eu lieu avec lui autour de ce thème était apparemment passionnante.
Je prends un moment pour passer voir l'Association images nouvelles, que je connais bien. Cette année, ils innovent, nous prennent en photo sur un fond vert puis nous incrustent dans l'affiche du salon. Voici ce que ça donnait pour moi.
Vient l'heure de la remise des prix et des petits fours (voir ici). En fait, je comprends pourquoi, en plus du prix calibre 47 on a remis un pris spécial du jury : Cécile Calland et Christophe Agnus avaient fini ex aequos.
À l'hôtel encore une longue discussion avec Simone Gélin, le groupe de dessinateur a l'air de bien s'entendre ; ils finiront la soirée quelque part, après le repas.
Dimanche, le salon ouvre à 10 h et je commence par la rencontre avec Yvan Robin, devant un public peu fourni. Toute la salle en profitera car notre micro, non réglable, diffuse celle-ci en direct. Certains se plaindront que c'était trop fort mais on ne pouvait pas régler le son.
Toute une bande des (joyeux) dessinateurs vient nous rejoindre et étoffe l'assistance. Une rencontre bien agréable.
Après une pause, deuxième entretien, avec Simone Gélin pour Juanita. Nous avions tellement discuté que les questions viennent naturellement. Un bon moment d'échange encore.
Repas de midi. Début d'après-midi, les auteurs et dessinateurs commencent à partir, moment que je n'aime pas beaucoup. On se retrouvera sur les réseaux sociaux mais le charme du festival sera rompu.
Je fais un petit trombinoscope de tous ceux qui restent :
les romanciers
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du côté BD
Restera la photo de famille, prise dans la salle (le temps n'est pas très clément), voir en haut de la page, mélange de bénévoles, d'auteurs, d'organisateurs, de partenaires.
Comme à Niort, j'ai eu l'impression d'être chez moi. Les bénévoles, sans qui, on le sait toutes ces manifestations ne sauraient avoir lieu, commencent à nous reconnaître, Serge et moi.
Bravo à tous pour ce sympathique moment.