J'ai deux amours.
Le préfet sait, et Rocco raconte la suite. Madame Ferri est inquiète, son fils Giovanni n'est pas rentré. Rocco est appelé. Là, tout en bas de la falaise un homme baigne dans son sang. Rocco commence à s'énerver, "Va te faire foutre". Rocco le dit "J'ai pas faim". Pourquoi ? lui demande ses copains de resto. Marina est partie depuis trois jours.
La grand-mère de Mattéo, elle aussi, en vain. Il est là, allongé entre les scooters, même assassinat. Le rapport entre les deux, Giovanni et Matteo c'est quoi ?
Marina n'est toujours pas revenue. Le bruit de la porte, c'est la femme de ménage Inna qui débarque, mon cœur bat plus vite.
Des copains ont toujours des copains, deux débarquent, Isabella et Davide. C'est qui la mafia historique où les nouveaux, des nigérians ?
Marina lui téléphone, Rocco est sous un orage glacé, le tonnerre ébranle Rome. Davide en raconte bien plus, la drogue est dans un bateau et des coups de feu pour en finir.
Rocco entend bien aller jusqu'au bout de ces assassinats, deux jeunes, c'est violent, c'est choquant. Et Marina qui s'est échappée, mais elle n'est pas loin. On est le sept juillet.
Le personnage ne fait qu'un, sous préfet d'exception, Harry le flingue dans la poche, Maigret le questionneur et Bacri le flic de mauvaise humeur, sans oublier Marina son amour, le plus grand. Il est l'heure de rentrer. Lupa l'attend dans sept minutes, les spaghetti alle vongole seront prêtes.
07.07.07. Antonio Manzini. Denöel, novembre 2020.