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Publié par blog813

Marché d'été !

Après toute ces célébrations sur les 10 ans du blog et du « panier », les vacances approchant à grands pas, il va être temps de choisir nos lectures d’été. Parmi les sorties de ce premier semestre, certaines ont été encensées par nos amis et collègues blogueurs et nous vous les proposons en vous rappelant que les libraires vous attendent pour vous faire partager leurs lectures « coup de cœur » ainsi que, sans doute, nombre de découvertes que vous partagerez ensuite. Et puis, on se refait pas, un coup d’œil dans le rétro, c’est pas mal aussi...
Nous espérons que cette sélection va vous aider dans vos choix de lecture. En attendant, n’oubliez pas le principal, lisez !

La maison du commandant
Valerio Varesi traduit par
Florence Rigollet
Agullo 2021

par Cédric Segapelli

L'air de rien on s'achemine déjà vers le sixième volume des enquêtes du commissaire Soneri débutant avec Le Fleuve Des Brumes, un roman à l'atmosphère envoûtante se déroulant sur les bords du Pô. Ce roman signait, il y a de cela cinq ans, les débuts de la maison d'éditions Agullo en devenant ainsi le fer de lance de cette collection noire avec une série policière emblématique rivalisant avec Andrea Camilleri et son commissaire Montalbano appréciant tout comme Soneri la bonne chère ou Maurizio De Giovanni et son commissaire Ricciardi partageant la même aversion pour le fascisme ordinaire qui sévit aussi bien à Naples que du côté de Parme, ceci en dépit des années qui séparent les deux séries. [...]
La suite (et les autres chroniques) est à lire sur le blog de monromannoiretbienserré

Les chiens de l’enfer
Akio Fukamachi
traduit par Jacques Lalloz
Atelier Akatombo 2021

Billet rédigé par Bruno le Provost

On a habituellement du Japon, la vision d’un pays policé, où les gens sont disciplinés, respectueux des règles et durs à la tâche.
Parmi les images d’Épinal que nous avons aussi de ce pays, il y a celle des Yakuzas.
Mais avouons-le, connaissant mal la culture japonaise, l’idée que nous nous en faisons est assez folklorique.
Des durs et des trafiquants sans aucun doute, mais bien moins dangereux que les mafieux d’Italie et d’Amérique.
Sans doute l’influence de la multitude de films et de séries qui ont ancré bien profondément dans notre esprit qu’il n’y a de véritables pègres que chez nos voisins transalpins et outre-atlantique.
La suite (et les autres chroniques) est à lire sur le blog Passion Polar

Casino Amazonie
Edyr Agusto
traduit par Diniz Galhos
Asphalte 2021

Billet rédigé par Hugues

[...] Le travail de documentation de l’écrivain de fiction est parfois dangereusement proche de celui du journaliste d’investigation, sur certains sujets potentiellement brûlants. Et dans un milieu aux carburants aussi volatils que Belém, la bouillonnante capitale de l’état du Pará,  cette curiosité pourtant si nécessaire peut vite se révéler mortelle. C’est ce à quoi doit songer minutieusement l’auteur lorsqu’il entreprend d’interroger (« en douceur », pourrait-on-dire) le caïd Bronco à propos d’une histoire devenue très vite légendaire parmi les véritables affranchis de la métropole toxique, celle de Gio, de Zaza, de Paula, de Marollo et de Clayton, dessinant le parcours d’une folle incursion dans la passion illégale du jeu qui anime tant de riches et de puissants, et dans la jungle des prix qui s’y pratiquent. Si l’on y ajoute, pour faire bonne mesure, un docteur aimant à se glisser dans les pulsions d’un serial killer à l’occasion, et un flic glissant en un clin d’œil ou presque de l’exemplarité vertueuse aux contrats d’exécution rémunérés, voilà bien Belém dans toute sa splendeur mortifère.[...]
La suite (et les autres chroniques) est à lire sur le blog Charybde2

L’aliéniste
Caleb Carr
traduit par René Baldy et Jacques Martinache
Presses de la cité 1996 / Pocket 2004

Billet rédigé par Luciole

J’ai du retard dans mes classiques de littérature noire ! L’Aliéniste fait partie des romans à lire pour les fans du genre. New-York, 1896 : une plongée dans l’horreur et les prémices du profilage.
« Avant le XXe siècle, les malades mentaux étaient considérés comme aliénés, c’est-à-dire étrangers, non seulement au reste de la société mais aussi à leur propre nature. Les spécialistes qui étudiaient et traitaient leurs pathologies étaient connus sous le nom d’aliéniste. » Note de l’auteur.

La suite (et les autres chroniques) est à lire sur le blog Loeildeluciole

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