Il était une fois...
Une chronique de Serge Breton
Il y a tout juste quarante ans, surgissait sur nos écrans Il était une fois en Amérique qui clôturait, après Il était une fois dans l’Ouest (1968) et Il était une fois la révolution (1971), la « Trilogie du temps » dans laquelle le cinéaste italien Sergio Leone revisitait la mythologie d’un continent qui le fascinait. Soit l’histoire d’une nation en marche, passée au crible de sa caméra baroque et inventive, sur les partitions ensorcelantes de son complice Ennio Morricone.
Ce film-fleuve et testament, Leone l’a porté en lui près de quinze années…