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Publié par blog813

2025 : c'est reparti pour un tour !!!

Bonjour,
Avant toute chose et parce qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire, nous vous souhaitons une très belle année 2025, enfin, disons la meilleure possible vu le contexte un peu particulier dans lequel elle a commencé...
Histoire de ne pas nous laisser abattre, nous allons comme à l'accoutumée travailler à vous réserver de beaux moments de rencontre et d'échange à la librairie ou hors les murs, et bien que l'agenda ne soit pas totalement arrêté, nous pouvons vous dire vu les parutions annoncées par les éditeurs de polar, de roman noir et d'autre chose que 2025 devrait être un très bon cru et que la littérature, même noire et bien serrée, devrait une fois de plus nous sauver la mise...

En attendant d pouvoir vous en dire plus, nous vous invitons d'ores et déjà à nous rejoindre à trois occasion en cette fin janvier histoire de ne pas perdre les bonnes habitudes

  • samedi 25 et dimanche 26 janvier à la BNU dans le cadre du "Off" des Bibliothèques idéales.
  • vendredi 31 janvier à la Tache Noire pour le lancement du nouveau roman d'Olivier Claudon

A très bientôt ! Nous nous réjouissons d'avance de vous recroiser ici ou là !

La Tache Noire

LIBRAIRIE EN LIGNE

 

Samedi 25 janvier à 18h à la BNU :
Qui veut la peau du service public ? Table ronde avec Claire Lemercier, Willy Pelletier et Thomas Porcher

[PAS DE COTE] Dans le cadre du "Off" des Bibliothèques Idéales la Tache Noire aura le plaisir d'animer une table ronde avec Thomas Porcher, Claire Lemercier, Willy Pelletier "La haine des fonctionnaires" (Amsterdam) et "L’économie pour les 99%" (Stock).
Ce sera l'occasion de revenir sur les dessous socio-politiques et socio-économiques de la remise en cause du service public par les tenants du discours dominant. Débat passionnant en perspective avec 3 spécialistes qui nous aideront à comprendre ce qui se trame en déconstruisant les discours économiques, sociologiques et politiques qui saturent actuellement le débat public...
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Thomas Porcher : L'économie pour les 99% : "L’économie est-elle au service de ceux qui font tourner la société « les 99% » ? Ou sert-elle « le 1% », une infime partie déjà riche ?

En partant à la rencontre des salariés d’une raffinerie, d’agriculteurs ou encore de la jeunesse engagée pour le climat, Thomas Porcher nous invite à réfléchir au fonctionnement de l’économie dans notre société et aux dérives du libéralisme. Y a-t-il d’autres modèles possibles ? Est-il utopique de vouloir plus de justice écologique et sociale ?

S’appuyant sur les épisodes marquants de l’histoire de l’économie et sur des exemples concrets, l’auteur donne des clés pour se réapproprier un débat trop souvent confisqué. Mieux encore, il partage dix principes d’autodéfense économique pour les 99 % d’entre nous."
 

Julie Gervais, Claire Lemercier, Willy Pelletier : La haine des fonctionnaires : "Pourquoi si peu d’insultes envers les actionnaires, les employeurs ou les pollueurs, et autant contre celles et ceux qui servent le public en toute égalité ? Fonctionnaires = feignasses = pas rentables = emmerdeurs = protégés = profiteurs = archaïques = inutiles = à compresser ! D’où vient l’incroyable puissance d’évidence d’une telle équation ? Et qui sert-elle ? Pourquoi certains (hauts) fonctionnaires sont-ils parmi ceux qui la répètent le plus ? 

Ce livre, à l’écriture vive, fournit des arguments en partant d’idées reçues (non, sous-traiter au privé ne fait pas faire d’économies) et de scènes de la vie quotidienne : l’attente interminable, la dématérialisation incompréhensible, le fonctionnaire « laxiste » ou « borné », etc. 

Appuyé sur de nombreuses recherches, il leur oppose le dévoilement de réalité vécue par des agents de ménage, ouvriers des voieries, secrétaires de mairies, des psychiatres, des gardiens de prison, et les autres. 

Pour en faire des outils de lutte pour la défense des services publics. Il s’adresse aux fonctionnaires moqués en manque de réplique, aux militants syndicaux et associatifs qui œuvrent à les défendre, aux étudiants qui veulent comprendre comment le dénigrement des fonctionnaires sert la détérioration des services publics, aux usagers qui souffrent de leur disparition et, plus largement, à tous celles et ceux qui, fatigués d’être montés contre leurs alliés et leurs semblables, veulent ne plus se tromper de cibles et porter la riposte."


 

 

Dimanche 26 janvier à 13h à la BNU :
Projection / lecture : Jacques Fortier nous raconte tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le tournage de la Grande Illusion sans jamais avoir osé le demander...

Fans de cinéma, d’enquêtes policières et de séries historiques, cette séance est pour vous ! En effet, Jacques Fortier a décidé de placer l’action de son nouvel opus sur le détective Jules Meyer, en plein coeur du tournage de « La Grande Illusion » de Jean Renoir. Jacques Fortier nous raconte « La Grande Illusion » tout en commentant des extraits du film qui passeront sur le grand écran de l’auditorium de la BNU !

Février 1937. Le détective Jules Meyer est recruté comme figurant pour le tournage d'un film sur la Première Guerre mondiale au château du Haut-Koenigsbourg. Casque à pointe sur le crâne, Jules fait ses premiers pas au cinéma sous l'oeil attentif du réalisateur Jean Renoir. Admiratif, il croise sur le plateau les acteurs Jean Gabin et Erich von Stroheim. Une mort violente par arme à feu bouleverse le tournage.

Jules doit enquêter incognito pour aider le commissaire divisionnaire Pfrimmer à faire la lumière sur ce crime sordide. Veut-on saboter l'oeuvre du pacifiste Jean Renoir, alors que le nazisme est maître en Allemagne ? La clef de l'énigme résiderait-elle plutôt dans la vie tumultueuse de la victime ? Sur le tournage, au Haut-Koenigsbourg, mais aussi à Colmar, Volgelsheim ou Fréland, Jules Meyer devra dissiper petites et grandes illusions.

A ne manquer sous aucun prétexte !!!

 

Vendredi 31 janvier :
Soirée de lancement de "L'hiver dure mille ans" avec Olivier Claudon

Pour notre première rencontre de l'année en librairie, nous aurons le plaisir d'accueillir Olivier Claudon à la Tache Noire pour le lancement  de "L’hiver dure mille ans" qui vient de paraître aux Editions de la Nuée Bleue !

Nos habitués le savent, nous suivons Olivier Claudon depuis son premier roman,. Ce serait donc peu dire que ce nouveau titre qui inaugure le début d’une trilogie policière inscrite dans l’histoire locale était attendu à la Tache Noire.

Dans « Et la ville sera vide », Olivier Claudon s’était attaqué avec brio au thème de l’Evacuation et avait réussi à rendre de manière palpable les ambiances urbaines si particulières d’une ville vidée de ses habitants.

Avec « L’hiver dure mille ans », ce sont d’autres pages de l’histoire locale qui serviront de toile de fond au déroulement de l’intrigue policière à proprement parlé. Retour sur cet étrange Collège de l’Europe libre fondé à Strasbourg aux débuts de la Guerre froide, mais aussi sur les blessures encore vives de l’Annexion et la fracture du Procès de Bordeaux…

Bref, autant de sujets que nous aurons le plaisir d’aborder avec l’auteur VENDREDI 31 JANVIER à partir de 19h à la librairie. Alors sauvez la date, comme on dit !!!

NB : Olivier Claudon sera à la Tache Noire à partir de 17h pour dédicacer ses ouvrages

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La 4 de couv’ : « Mars 1953. Le commissaire Willer, de la police judiciaire de Strasbourg, est appelé pour un meurtre au château de Pourtalès. La victime est un professeur polonais du Collège de l’Europe libre, une institution d’origine américaine qui prépare la chute du rideau de fer.

Paul Willer mène l’enquête dans un Strasbourg encore marqué par les stigmates de la Seconde Guerre mondiale. Ancien résistant, il peine à se remettre de ses années d’internement en Allemagne. Ses souvenirs le hantent chaque nuit, et cet hiver qui l’habite l’empêche d’aborder sereinement l’avenir et d’accepter l’amour de Marie.

Ce roman se déroule à un moment charnière pour l’histoire de Strasbourg, de l’Europe et du monde, au lendemain du Procès de Bordeaux et de la mort de Staline, alors que l’Europe en construction installe ses diplomates dans la capitale alsacienne.

Roman noir et intense, au style incisif et sans concession, L’hiver dure mille ans donne à voir le Strasbourg d’hier et les tourments d’un policier qui se consacre tout entier à son enquête pour ne pas sombrer. »

 

 

#6moisferme : des news de l'abonnement polar 

Il est encore temps pour les retardataires de s'abonner et d'en prendre pour #6moisferme !!! Cette carte vous permettra pendant un semestre de retirer un polar d'une valeur moyenne de 17€ soigneusement sélectionné par la Librairie La Tache Noire à Strasbourg. Elle vous permettra de découvrir différentes facettes du noir, ainsi que des auteurs et des éditeurs dont nous souhaitons valoriser le travail, favoriser la reconnaissance et soutenir la diffusion. 

Aux alentours du 15 du mois, vous recevrez un titre faisant partie des dernières nouveautés pour découvrir des auteurs venus des 4 coins de la planète. Un café vous sera offert pour prendre tranquillement connaissance du contenu du livre du mois. Et au bout de 6 mois, le solde de votre avoir restera à votre disposition sur votre compte pour vos achats.

Alors prêts à en prendre pour 6 mois ?

En janvier les abonnés de la Tache Noire (et les autres) auront le plaisir de découvrir Los Angeles nostalgie de Ry Cooder. Ce recueil de nouvelles nous a séduit par sa capacité à ressusciter une ville disparue et les habitants de ses différents quartiers avant qu'ils ne soient absorbée par cette ville tentaculaire qui est aujourd'hui la proie des flammes...

Le Los Angeles de Ry Cooder, c'est celui des premiers romans noirs, celui des petits métiers et des petites gens, celui du crime et de l'arnaque érigé en art de vivre, le tout agrémenté de quelques notes de jazz mélancoliques à souhaits... Bref, une ambiance propice à la littérature noire et un décor bien plus réaliste que celui des studios hollywoodiens. Avis aux amateurs !!!

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La 4e de couv' : "Dans ce premier recueil de nouvelles, Ry Cooder explore les bas-fonds de Los Angeles comme l’ont fait jadis le Philip Marlowe de Raymond Chandler, le Sam Spade de Hammett ou le Lew Archer de Ross MacDonald. Mais fidèle à ses racines de musicien, il en profite pour rendre hommage au jazz, au blues et aux rythmes latinos d’une époque révolue. Il honore ainsi une certaine « famille » de musiciens certains assassinés et d’autres encore vivants en décrivant leurs poignantes existences. John Lee Hooker et Charlie Parker apparaissent au détour d’une page. Le plus souvent, les personnages de Cooder sont de parfaits inconnus, des « petites » gens. Ils sont guitaristes, batteurs, chanteurs dans des night-clubs californiens ou bien arnaqueurs, serveurs, mécaniciens. Les lecteurs de Cooder aimeront le mélange des genres entre musique et crimes car ses histoires ressemblent à ses chansons : elles vous prennent à la gorge calmement mais sans jamais desserrer prise. Cooder est un historien de Los Angeles passionné qui se concentre sur ceux qui ont élu domicile pour la vie à L.A. Son livre est le portrait d’une ville (le Los Angeles des années 1940-1950) qui a disparu au profit d’une mégapole tentaculaire. Les deux dernières lignes résument cette ville-personnage qui n’en finit pas de se réinventer : « Los Angeles était bien la ville du jour meilleur, quelque chose de bon allait sûrement se produire."

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