Lecture et ciné, deux chroniques de Bernard Daguerre
Bonsoir,
Mes dernières chroniques:
En littérature noire, le grand auteur salvadorien Horacio Castallanos Moya :
Les romans de Horacio Castellanos Moya sont comme des météorites littéraires qu’aurait produite l’incandescence politique du pays d’origine de l’auteur, le Salvador, balloté depuis tant d’années entre dictatures militaires et guerres civiles, jusqu’à celle qui s’acheva au milieu des années 1990. Dans ce cycle romanesque, forte d’une douzaine de livres, nous suivons les turpitudes et les malheurs de familles de la grande bourgeoisie du pays, partagées entre leur appartenance aux cercles dirigeants et une sensibilité politique souvent à l’opposé de nombre de leurs membres.
Et mon compte-rendu du festival de La Rochelle cinéma (en juillet dernier), quelques perles noires:
amitiés
Bernard
Le Festival La Rochelle cinéma s’est déroulé fin juin une poignée de jours avant celui de Cannes. Depuis sa première édition, il y a 49 ans, le festival se consacre à l’exploration universelle du cinéma, tant dans sa dimension historique que dans l’actualité des dernières sorties, et sans compétition sinon celle de la richesse des œuvres présentées. Cette année, les festivaliers ont particulièrement apprécié les rétrospectives consacrées Roberto Rossellini, René Clément et Maurice Pialat. Aqui a souhaité mettre sa focale sur l’intérêt particulier des œuvres au noir proposées.